Albert world tour 2016

arrivée à Panajachel, ambiance Guatemaltèque il n'y a pas de doute

ici les enfants dès 7 ans, peut-être moins, sont au boulot mais attention à ne pas se laisser attendrir, c'est pas forcément une nécessité pour eux, les parents qui tiennent un commerce ne sont pas loin et quand un gosse tient un client, tous les autres arrivent pour se faire payer aussi ... mouhai ...

le port de tourisme de Panajachel ...


... d'où on embarque sur une barcasse de 25 places mais on sera 30 et 31 avec le 'capitaine' tout juste adulte

direction San Juan




cette montagne est sacrée, elle représente le profil de quelqu'un dont je ne me souviens pas qui ni quoi ... mais bon, photo retournée ...

... voilà

ici il n'y a pas les chicken-bus dans ce centre touristique, mais les tuck-tuck se suivent à la queue leu leu ; tuck-tuck sir ? tuck-tuck ? ... booo ! l'asie

et quand on quitte la rue des affaires

comme partout rien n'est fini

les chantiers sont témoins de certaines difficultés

et le maïs servira aux arts plastiques

car ici la spécialité est le textile artisanal dont les couleurs sont réalisées à partir des végétaux entre autre le maïs

hangar de trie des vêtements avant la distribution chez les vendeuses
il y a trois associations de femmes, celles qui font les couleurs et les teintes (48 femmes), celles qui tissent (51 femmes), celles qui vendent (18 femmes)

les différents maïs utilisés pour les peintures sur toiles également

en haut de la colline

travaux de rénovation autour de l'église

ce type casse les cailloux à la massette

pour faire des sacs de 70 kg ...

le tout pour faire du béton : 2 sacs de pierres, un sac de ciment, du sable (de récup de la casse des pierres mélangé au sable du lac) = 1 bétonnière

pourquoi ne pas broyer les cailloux au concasseur ? ça existe ben parce que il n'y a pas beaucoup à casser, seulement 30 m3
petit travail tranquille quoi

arrivée à San Pedro

ça grimpe aussi


tuck-tuck sir ?

un marché ! sous 30° ...



heureusement le boucher est fermé avec des ventilos pour chasser les mouches, plus une tapettes pour les plus grosses que le ventilo ne chasse pas

friture séchée pour faire des sauces

et les épices et les herbes sèches

ouhai ça grimpe

le bord du lac en bas de San Juan ...

et là j'ai raison de ne pas prendre du poisson du lac au resto

toutes les femmes qui sont en bas lavent leur linge ici

et cela ne semblent pas déranger les pêcheurs

tu parle d'une eau propre ...

rajouté au bouteilles et autres bidons plastiques qui servent à flotter les palangres ...

voilà ce qui en est, le poisson ça sera pour plus tard

dernière étape à Santiago Atitlán ; sur le 'fjord' du lac, peuplé en quasi-totalité d’Indiens tzutuhil, descendants des Mayas, Santiago Atitlán est aujourd’hui l’un des plus gros bourgs du lac

de suite on se fait sauter dessus par les commerçants qui attendent à la sortie des bateaux, c'est très oppressant

c'est du harcèlement

certes ils ne mesurent pas cela mais franchement tu ne t'intéresse même pas à ce qu'ils ont à vendre tellement ils sont nombreux et tellement ils ont tous les mêmes choses à vendre, et tellement c'est de l'arnaque ; un randa (bande traditionnelle brodée ... à la machine) coûte 100 GTQ mais avant d'embarquer sur le bateau pour repartir, les femmes te harcèlent pour que tu en achète un jusqu'à 50 GTQ la pièce voire 10 $ les deux (80 GTQ) ... mouhai ...
... alors que celui fabriqué à la main par Judith à Antigua coûte 200 $ après deux mois de travail

ambiance dans la rue principale du centre, activité au milieu des touristes épanouis

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tuck-tuck sir ?

allé une petite bière ...

... presque française

et là haut la place des marchés

bon, le temps étant assez court dans chaque ville étape, je ne sais pas grand chose et donc rien à raconter ; fin de la balade ...

et retour à Panajachel, 1 heure de bateau en croisant quelques pêcheurs tranquilles au milieu du lac